Dans ce dommaine je ne me sens pas très au point. J’ai bien une façon de fonctionner, des idées que j’ai picoré ça et là, mais je ne sais pas bien ce que ça donne dans la tête de mon fils. Je vous dis malgré tout comment je m’y prends.
Il visionne à volonté les 3 cassettes de Postman Pat.
Je lui ai offert deux petits livrets pour le moment de Spot, “Spot can count” & “Spot bakes a cake”. Nous les avons lu une fois, il faudra renouveller la lecture ensemble.
J’ai trouvé sur internet des petits livrets imprimables apprenant le nom des animaux de la ferme, ceux des fruits les plus connus, celui des couleurs,etc... Voir le site Learning Page
Surtout le plus important, je prends moi-même des cours particuliers d’anglais, car avec 10 ans d’anglais scolaire j’ai quelques lacunes à combler. De plus sur le net l’association Une éducation pour Demain a mis en ligne des exercices basiques.
Le plus motivant é été pour Aymeric de rencontrer cet été un petit anglais qui ne parlait par un mot ou presque de français.
Depuis Noël nous sommes passés à la vitesse supérieure en anglais. J’ai trouvé sur le net des fiches de travail sur des thèmes sympathiques, la biologie des animaux comme les alligator et les papillons, puis les grottes leur géologie et la vie qui s’y déroule. Bref un double sujet de travail. Si nous devions travailler de cette façon en français Aymeric n’apprécierait pas car il connait déjà la motié du sujet grâce à “C’est pas Sorcier” et toutes les émissions de France 5 ou autre sur les sciences naturelles ou techniques.
Je lui demande ensuite d’écrire 5 mots de sont choix et leur traduction dans son répertoire d’anglais. Même si ces mots n’ont aucun lien avec ceux que l’on vient de voir, le plus important est qu’il veuille les apprendre. A partir de là, il peut noter que nous avons fait de l’anglais.
J’avais pris la précaution en allant au Québec cet été de trouvé un livret d’initiation à l’anglais. Et avons choisi Croc-Anglais 3 - cahier d’activités édition Trécarré de Quebecor média de Suzanne Fournier & Charles Côté.
J‘espère bien l’initier à l’italien étant d’une famille d’origine italienne, ayant encore de la famille en Italie, et même des cousins de son âge. Le papa parle italien, les deux grandes ont appris dès le CP et son à laise avec cette langue à l’oral. Par contre je ne connais pas cette langue que j’aurais aimé apprendre. C’est donc l’occasion de remplir cette lacune.
Je viens de trouver lors de notre séjour en italie des livrets d’apprentissage de l’italien joliement illustré, à l’aide de gommettes notament et à partir d’excercices progressifs. Ils me semblent vraiment bien à voir à l’usage. Il me faudra certainement l’aide des filles ou du mari italophone de la maison.
J’ai trouvé à la médiathèque la traduction en Italien d’un livre qu’Aymeric a adoré lorsqu’il avait 5 ans. “I tre brigandi” de Tomi Ungerer puis un logiciel d’apprentissage de l’Italien avec Obélix et Astérix, je vous dis pas comme il est aussi motivé pour le faire. Pourtant ce n’est pas de son niveau, je voulais le rapporter pour cette raison sans qu’il ai eu le temps de la voir.
Comme j’apprends l’italien depuis cette année, je me sens maintenant capable d’intégrer cette initiation à notre travail. J’ai la chance d’avoir une bonne prononciation. Peut-être viendra-t-il avec moi en cours l’année prochaine ?
Pourquoi vouloir faire du latin lorsqu’on a jamais appris soi-même sauf rosa, rosae, rosace, rosam (?!?!). Il me semble intéressant au niveau du sens des mots français et intéressant pour l’ouverture culturelle que l’apprentissage de cette langue peut apporter.
En attendant, quelle méthode ? Je ne sais !
MàJ 9 Août.08
Origine de l’Homme
NewsLetter n°1
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